Notre objectif principal est dérouler une structure éducative qui serve comme modèle d’école social et de qualité dans les écoles de primaire de Djoum et Mintom. Il s’agit de garantir la scolarisation du peuple baka et des mineurs en risque d’exclusion social.
Depuis les premières projets déroulés avec les pygméen baka de Begbnis et les alentours, il a surgit la conscience de qu’une des voies le plus importante pour son intégration dans la société camerounaise et l’amélioration de ces conditions de vie est l'éducation des enfants bakaabsolument déficitaire au moment de notre arrivée
Face à cette circonstance, on a planifié dérouler un projet éducatif à long terme et capable de comprendre le plus grand nombre de kilomètres, peuples et enfants possibles. Le but principal consisterait à alphabétiser à tous les mineurs baka des départements du Grand Djoum et faciliter son accès à l’éducation supérieure en égalité de condition par rapport au reste des enfants du sud du Cameroun, dans l’actualité, ces deux centre comptent avec plus de 500 élèves scolarisés.
Pour cela, le projet d’éducation primaire dans les écoles de Djoum et Mintom est un mécanisme pour promouvoir un système éducatif transformateur e intégrateur au niveau personnel et social, de la population en âge scolaire de la région.
La gestion de ces écoles est orientée à faciliter l’accès à elles, aux familles les plus vulnérables.En réduisant notablement les dégâts d’inscription et en assouplissant les démarches. On assure aussi un mieux niveau formatif moyennant la formation, la surveillance prochaine et la motivation des professeurs. De même, rénover les matériaux pour les élèves (livres, cahiers, uniformes) et les installations sont devenus indispensables
l'éducation est un puissant moteur de changement social , et pour cela, dès le plus jeune âge, on promeut la camaraderie et la participation ensemble dans les activités de la classe des enfants pygméens et d’autres ethnies. De cette façon, les élèves de nos écoles sont éduqués dans un climat de cohabitation et égalité parmi ethnies
Le cas des pygméens baka
Cameroun a un taux de scolarisation primaire du 78% correspondant un 77% aux filles, selon UNICEF. Malgré cela, le taux de finalisation de l’éducation primaire n'est que un 10% dans les zones rurales Tel que le gouvernement camerounais l’affirme. Cela est expliqué parce que les enfants habitent dans campements éloignés des écoles et ses familles n’ont pas l’argent pour affronter les dépenses minimes de transportLa communauté pygméenne baka, même si elle s’est stabilisée dans des campements, elle se déplace pour des longues époques à la forêt pour pratiquer ses activités économiques traditionnelles comme la chasse, la pêche et la récolte des fruits sauvages. Cette est une des causes par laquelle l’absentéisme scolaire est notable dans les écoles primaire
Actuellement, les baka se trouvent sans représentation dans la vie politique et sociale Même pas dans les villes et villages dans les quelles habitent et sont exclus presque entièrement de l’organisation communautaire et des services basiques qu’elle offre, comme l’éducation. Avec le présente projet on veut promouvoir une éducation transformatrice, de qualité et basé sur des valeurs, à travers de la gestion des centres scolaires, formation annuelle du professorat, quantité de matériel scolaire, cours de renforcement et suppléments alimentaires.
Aussi en Djoum comme en Mintom, les regards sont mises à favoriser l' assistance régulière des élèves baka Aux centres scolaires, ainsi que promouvoir une éducation de qualité. Pour eux, il est prévue une importante campagne de sensibilisation éducative et nutritionnel en plus de la concession des bourses scolaires aux élèves de primaire qui sont gérées par Zerca y Lejos
Il est de même indispensable le travail de sensibilisation avec les familles sur l’importance de l’éducation de ses enfants. Pour cela, on organise des réunions dans les différentes villes, en faisant un registre des enfants, avec un contact continu avec les familles et les chefs de chaque ville dans lequel on leur offre les différentes options des bourses à lesquelles les élèves peuvent opter
De plus, on compte avec un bus qui parcourt plusieurs villages baka chaque matin et chaque soir , en allant chercher et retournant les élèves chez eux, en facilitant et en appuyant l’assistance aux cours de ces enfants